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Le Regard Littéraire

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Le Regard littéraire est une collection dans laquelle de grands écrivains nous invitent à partager leurs passions pour la littérature, l’art et l’ailleurs.

Le Regard littéraire, c’est Gracq livrant ses intuitions sur Proust, Zola s’insurgeant contre les Romantiques, Proust confiant son « testament littéraire », Zinoviev rendant à Tchekhov ce qu’il lui doit, Gombrowicz pourfendant les poètes, Taine réinventant le voyage en Italie, Céline défendant le style contre les idées …

Chacun de ces auteurs est choisi pour son tempérament et sa capacité à restituer la saveur des choses de l’art, donc de la vie. Il ne s’agit pas de textes « critiques ». Ici, le regard est naturellement guidé par l’intuition, non par le raisonnement. À partir de ce qu’il lit et contemple, l’écrivain, devenu, selon le mot de Flaubert « artiste en même temps que l’artiste », génère une œuvre inattendue, fruit d’une relation nouvelle avec l’art ou la littérature.

André Versaille

Pour ou contre,

inédits ou réédités, les textes de cette collection à la présentation sobre et élégante, nous promettent quelques fameuses surprises.

Dominique Eril, Lire

Le Regard Littéraire
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Que de beau monde

dans cette collection de textes littéraires (…) D’ors et déjà cette collection nous parait essentielle.

Jean-Jacques Brochier, Le Magazine Littéraire

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Une collection de textes rares,

signés des plus grands noms de la littérature universelle. (…) Textes-miroirs où un écrivain haineux ou amoureux mais toujours passionné règle ses comptes avec un confrère de même stature que lui et, déshabillant l’autre, se déshabille lui-même.

Michel Grodent, Le Soir

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Le Regard littéraire tient ses promesses.

(…) Une telle entreprise d’édition (…) est exemplaire. Elle réhabilite des démarches critiques guidées par l’intuition. Comparées à elles, les tentatives « scientifiques » de nos modernes précieux semblent dérisoires. L’admiration et la haine, pour juger une œuvre, valent n’importe quel système.

Raphaël Sorin, L’Express

Cette collection ressuscite

pour notre plus grand plaisir des morceaux littéraires inoubliables (…). Elle rallume la passion pour la littérature. Car les écrivains savent donner le goût de la lecture.

Guy Ferland, Le Devoir (Montréal)

André Versaille propose à ses amis lecteurs

les textes qu’il aime pour leur force, leur insolite, leur tempérament et leur capacité à restituer la saveur des choses de l’art, donc de la vie. Ces textes poussent sous son regard comme champignons après la pluie.

Jacques Franck, La Libre Belgique

Des chefs d’œuvres

de méchanceté, d’humour et de perspicacité (…). Cette collection se donne à lire comme un gigantesque feuilleton à épisodes, bourré de coups de théâtre et de bons coups de gueule.

Line Karoubi, Le Matin de Paris

Les premiers ouvrages

publiés sont à la hauteur des ambitions de l’éditeur (…). Charité chrétienne, s’abstenir.

Éric Zémour, Le Quotidien de Paris

Une somptueuse bibliothèque

La matière est abondante, passionnante.

Jean-Baptiste Baronian, Le Vif/L’Express

Voici la merveille de la saison :

le livre de poche pour happy few.

Paul Vandromme, Pourquoi Pas ?

La nouvelle aristocratie du format réduit.

Pour s’en convaincre, il suffit d’aviser les superbes couvertures du Regard littéraire.

Jean-Marc Parisis, Le Figaro littéraire

J’espère que cette très belle collection

va continuer afin que les amateurs de littérature (…) puissent savoir de façon parfois indiscrète les amours et les détestations des écrivains entre eux.

Jacques Floch-Ribas, La Presse Montréal

C’est avec la collection « Le Regard Littéraire »

lancée voici cinq ans, que la maison force la reconnaissance des amoureux de la littérature, de ce magistral mensonge évoqué par Manganelli. On n’oubliera pas, à ce propos, que le premier ouvrage publier, à cette enseigne, par André Versaille, est d’Oscar Wilde, et s’intitule précisément, Le Déclin du mensonge. Wilde y professe la conviction simple et fondamentale que la nature imite l’art et que celui-ci se voue à la stérilité s’il ne trompe pas le réalisme avec les polissonnes de l’artifice et de l’imaginaire.

Belle ouverture pour une collection qui consacre toute son attention au regard que l’écrivain lui-même, premier concerné, porte sur la littérature. La sienne et celle des autres. Il est plus excitant de savoir ce que Maupassant pensait de Flaubert, plutôt que le juge qui condamna l’auteur de Madame Bovary pour immoralité.
Sur ce qu’André Versaille pense de Flaubert, le doute n’est pas permis puisque comme on le sait, à l’occasion des quatre lustre de son enfant, il a choisi de « coudre » ensemble des extraits de sa correspondance qui évoquent « La Bêtise, l’art et la vie. ». Bon anniversaire : la boucle est bouclée.

Ghislain Cotton, Le Vif / L’Express, « Pour saluer Complexe », 1er juillet, 1991.